ESTOILE INTERNELLE: Louis CHARBONNEAU-LASSAY et René NELLI - Extrait de l'ouvrage de PierLuigi Zoccatelli

ETUDES DE SYMBOLIQUE CHRETIENNE

Textes publiés dans la revue "Régnabit" de 1922 -1926 et "Le Rayonnement Intellectuel" 1934-1939.

Le sacré-coeur du donjon de chinon, Le petit Sceau d'Estème Couret, Fontaine de vie et sainteté,La blessure du côté de Jésus,Marques commerciales des premiers imprimeurs,Le Tétramorphe,La main, Le sigle aux quatre B, Les grains d'encens du cierge pascal, Le Signaculum Domini sur les monnaies anciennes. Le Saint graal , Le Christ de Luini, les pressoirs mystique.

Edition Gutenberg reprint - 2005 - 666 pages - In8 broché - nombreuses illustrations en N.B - NEUF - 60€

LE LIEVRE QUI RUMINE. Autour de RENE GUENON, LOUIS CHARBONNEAU-LASSAY et LA FRATERNITE DU PARACLET.

Félix de ROSNAY

LE HIERON DU VAL D'OR - Elevé en hommage A Jésus-Hostie-Roi.

Fac-similé de l'édition de 1900 - Le Hiéron a été construit par la Société des Fastes eucharistiques - "Ses Origines, ses Travaux, ses Collections et sa Méthode par Félix de Rosnay secrétaire du Hieron" - "L'Oeuvre" - "Le Dogme et la Doctrine" - "Théologie et la Tradition" - "L'Histoire et l'Art" - "La Science et le Symbolisme" - "Le Rite et le Blason"....

Editions Arma Artis - 2002 - 120x170 - 304,pages - broché - NEUF - Prix : 30.00 € -

L'affaire du baron Alexis de Sarachaga

L'histoire de ce personnage est on ne peut plus intéressante, c'est celle d'un russo-espagnol à qui l'on doit la curieuse société secrète du « Hieron » et un bâtiment du même nom situé à Paray-le-Monial. Bâtiment qui se voulait être un musée eucharistique et qui vient d'être restauré par la ville après une longue fermeture.
« C'est le plus beau sanctuaire de l'ésotérisme catholique », confie Alain Rauwel, enseignant à l'université de Bourgogne.
« Pour le baron Alexis de Sarachaga, le catholicisme accomplissait toutes les traditions religieuses antérieures de l'humanité et Paray-le-Monial se trouvait être le centre de la gaule druidique et donc les apparitions du sacré-cœur au XVIIe siècle étaient logiques parce qu'elles reprenaient un lieu déjà sanctifié dans une religion antérieure », détaille Alain Rauwel. « Il s'agissait d'une filiation d'initiés avec une transmission de culte à culte ». Une approche qui n'était pas exempte d'une méfiance très 1900 envers le judaïsme.
« Avec cette filiation, le baron Alexis de Sarachaga laissait de côté tout l'arrière-plan juif de la religion chrétienne pour la remplacer par une tradition orientale qui lui paraissait plus respectable », détaille le chercheur qui souligne que cet étonnant baron avait réussi à obtenir l'agrément du milieu catholique, Saint-Siège en tête. Mais, avec le temps, cette filiation est devenue de moins en moins acceptable.
« Le bâtiment de Paray-le-Monial, a, finalement, été sauvé et racheté par la ville. Mais on ne peut occulter ce qu'il a été en promouvant une lecture ''laïque'' », remarque Alain Rauwel.

Publié le : dimanche 11 juin 2006
dans :Bien Public - Journal de Saône-et-Loire.

Louis CHARBONNEAU-LASSAY et René NELLI - Extrait de l'ouvrage de PierLuigi Zoccatelli - Disponible chez LE TROUBADOUR DU LIVRE